Chez Kélacien et Diabless

Le voila qui passait les portes de la ville. Il avançait,
fatigué par le voyage voilà longtemps qu'il marchait. Mais enfin s'ouvrait
devant lui cette rue temps vue en songe enfin il aperçut cette petite maisonnette
a la quelle il tient tant. Enfin il poussa la porte, et pénétra chez lui, des
mois qu'ils n'avaient pas mit les pieds ici. Diabless 'était manifestement pas
encor arrivée il déposa sons sac dans un coin et respira ces parfums qui
embaumaient. Il était de retour chez lui. Enfin.

Invité

diabless rentrait d'une promenade en forêt quand elle le vit!

Kelaaaaaa!!!mon coeur tu es de retour!!!!

elle lui sauta au cou et l'embrassa langoureusement, c'était bon de le revoir enfin!!

Invité

diabless rentrait d'une promenade en forêt quand elle le vit!

Kelaaaaaa!!!mon coeur tu es de retour!!!!

elle lui sauta au cou et l'embrassa langoureusement, c'était bon de le revoir enfin!!

Kelacien qui vaquait à ces occupations, n'eut que le temps
d'entendre la porte s'ouvrir que déjà Diabless lui sautait dessus. Cela le
surprit il ne s'attendait pas à la revoir de si tôt en cet endroit...Sa joie en
fut que décuplée. Il serra Diabless décidé à ne plus la lâcher.

Oui je suis de retour. Je pensais que tu le savais. Il sourit.

Tu ma manqué pendant ces longues semaines.

Il ponctua sa phrase d'un baiser et contempla Diabless.

Invité

diabless sourit à son Kela
je savais pas que tu étais de retour, mais tu m'as tellement manqué!!!tu repars plus aussi longtemps promet le moi!!

sur ce elle se serra contre lui et lui dit:

il me semble qu'on a du temps à rattraper:D

Un souffle froid, caresse vive de ce vent froid, l’automne amène
peu à peu l’hiver. Morne matin, peu de monde dans les rues. Seule, dans le ciel
bleu pale, une feuille plus résistante que les autres continue de vibrer, seul témoin
que la vie fut et sera. Seulement pour l’instant tout sommeil dans l’attente de
meilleurs jours avec lesquels reviennent chaleur et bonheur. Quelques cheminées
dégagent de longues traînées blanches perturbatrices mais tout aussi
silencieuses dans ce tableau… Une porte, une battisse, peut être abandonnée, écrin
d’un rêve passé…le temps, éternel meurtrier de ces instants inhabituels. La
porte tourne sur ses gonds, profitant de la brèche le triste spectre s’engouffre.
Souvenirs, nostalgie, mélancolie tristes sentiments qui témoigne d’un bonheur
vécue. Peu de chose de changé mais c’était déjà trop, rien ne servais d’aller
plus loin, puisque se dessein ne lui appartenait point. Enigmatique retour,
étrange réapparition…peut être pour mieux sombrer dans l’oublie ou prémices d’un nouveau réveil. S’accrochant malgré lui,
comme cette feuille battue par le vent hivernal…La porte claque, courant d’air,
comme un frisson. Dans le silence de ce jour rien ne vint plus le froisser. Seul
témoin, ces traces de pas sur le sol encore humide de la gelée matinale…

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